Outil de reporting éditorial : les 5 règles d’or

Parce que vous souhaitez obtenir de nouveaux leads via votre communication digitale, vous avez proposé à vos équipes une stratégie éditoriale en béton avec charte, calendrier édito et objectifs à l’appui. Vous avez publié les premiers articles sur votre blog, vous les avez relayés sur les réseaux sociaux et vous avez même envoyé plusieurs newsletters pour promouvoir votre contenu. Pour vous, le job est fait. D’ailleurs, les résultats sont là : le rythme des commandes s’est accéléré n’est-ce pas ?

À la machine à café, vous surprenez vos collègues en grande conversation :

- Ça marche bien en ce moment !
- Oui, c’est normal, c’est bientôt Noël, souvent l’activité augmente à cette période.

Et vous :

- Noël ? Mais non pas déjà. Non, c’est ma newsletter sans aucun doute. Après chaque envoi, le lendemain on est submergé par les commandes.
- Ah bon ? Tu as vu ça où ?
- Bah… vous n’aviez pas remarqué ?

C’est à ce moment que vous auriez dû sortir votre beau PowerPoint de reporting éditorial. Grâce à lui, vous auriez pu répondre à toutes les questions de vos collaborateurs : quel est le chiffre d’affaires généré par nos contenus ? Quels articles sont les plus pertinents ? Que nous apprennent nos articles sur notre communauté Facebook ? Mieux : vous en apprendrez vous-même beaucoup plus sur votre cible et sur les ressorts subtils du marketing éditorial.

Voici nos 5 règles d’or du reporting éditorial pour appréhender sereinement cette étape essentielle de votre mission.

1. Définir les chiffres qui comptent

Google Analytics est votre principal allié, que ce soit pour analyser les performances de votre blog, de vos réseaux sociaux ou de votre newsletter. Mais cet outil propose un nombre conséquent de données, qui peuvent effrayer de prime abord. Par ailleurs, vous avez d’autres outils à disposition, par exemple, la page analytics de votre compte Facebook, ou encore la data fournie par votre routeur. Il est primordial de savoir quels sont les chiffres qui vous intéressent.

Pour faire le tri, pensez d’abord à vos objectifs. Quelles sont les KPIs (Key Performance Indicators) qui vont vous permettre de savoir si ceux-ci sont atteints ou non ? Pensez également à ceux qui sont le plus couramment utilisés sur Internet : cela vous permettra d’avoir de bons points de comparaison pour débuter. Par exemple, qu’est-ce qu’un bon taux de rebond ?

Pensez aussi à vos interlocuteurs. Si pour votre reporting vous avez besoin de considérer beaucoup de chiffres, tous n’ont pas à figurer sur votre PowerPoint. Allez à l’essentiel.

Petite astuce : la plupart des chiffres que vous présentez doit vous permettre de tirer un enseignement ou une petite conclusion. Faites l’exercice et votre tri sera vite fait.

Puis conservez toujours les mêmes KPIs afin d’avoir un point de comparaison pour chaque contenu mais également des points de repère au fil des mois.

Pour votre blog, par exemple, vous pouvez vous concentrer sur les chiffres suivants :

  • nombre de sessions / visites
  • nombre de visiteurs uniques
  • pourcentage de nouveaux visiteurs
  • nombre de pages vues
  • taux de rebond
  • temps moyen

2. Être pédagogique et concis

Votre outil de reporting est un moyen de communication avec vos collaborateurs et votre hiérarchie. Les uns ne se sentent pas forcément concernés par votre travail, les autres peuvent n’avoir que très peu de temps à vous consacrer. Votre reporting doit remédier à ces deux contraintes : il faut donc d’une part être pédagogique et de l’autre être concis.

Comment ? Chaque slide de votre reporting doit être explicitée par une note ou une synthèse. Si les chiffres parlent parfois d’eux-mêmes, nous ne parlons pas tous leur langue ! Ils doivent donc toujours être légendés.

Vous devez aussi scinder votre reporting en deux : une partie de synthèse et une partie plus détaillée pour ceux qui voudraient comprendre votre analyse en profondeur… et qui en ont le temps !

3. Inscrire les résultats dans une tendance, un contexte

Votre reporting doit être récurrent et partagé à une fréquence régulière : hebdomadaire, bimensuelle, mensuelle, trimestrielle, etc. Le reporting mensuel est souvent à privilégier afin d’avoir suffisamment de data à traiter, mais également un peu de recul. Ce reporting vous permettra en fin d’année de dresser le bilan global de votre stratégie.

Surtout, votre reporting doit toujours prendre en compte celui des mois précédents afin de dessiner une (ou des) tendance(s).

Vous pouvez également être amené à comparer les performances de décembre 2016 avec, par exemple, non pas celle de novembre 2016, mais celle de décembre 2015. À mois équivalent, vous pouvez avoir une comparaison plus juste. Il faut donc toujours prendre en compte les particularités de chaque mois : un vendeur de glaces peut difficilement s’offusquer d’avoir moins de succès en octobre qu’en août !

Toutes ces comparaisons vous permettent de creuser des pistes de réponse pour expliquer une hausse importante du chiffre d’affaires ou une brusque chute du nombre de visites (vacances scolaires, week-end, jours fériés, etc.).

4. Comparer les différents supports

Deux articles de blog auront des statistiques bien différentes selon qu’ils ont été promus sur les réseaux sociaux, qu’ils sont dans le premier encart de votre newsletter ou le dernier, etc. C’est pourquoi il faut prendre en compte l’ensemble du dispositif déployé avant de tirer des conclusions.

Afin d’améliorer vos performances sur le long terme, vous pouvez grâce à votre outil de reporting réaliser plusieurs tests pour répondre à vos interrogations.

Par exemple, tel article a bien fonctionné sur les réseaux sociaux mais pas sur la newsletter. Est-ce que l’objet de la newsletter manquait de pertinence ? Ou bien est-ce le public qui diffère et ne partage pas les mêmes centres d’intérêt d’un média à l’autre ? Le mois suivant, essayez de promouvoir un article sur le même thème dans la newsletter mais avec un nouvel objet. A-t-il plus de succès ?

5. Tirer des conclusions et des recommandations, un plan d’action

Avec la communication de vos résultats et le bilan de vos actions, l’objectif de votre outil de reporting est de faciliter la prise de décision.

Grâce à lui, vous connaissez mieux votre cible et pouvez vous ajuster : inutile de continuer de promouvoir tel type de contenu dans votre newsletter si les résultats sont médiocres à chaque fois. En revanche, favorisez tel format qui vous garantit d’excellents retours.

Votre boss n’est pas convaincu que les photos de chat glissées dans votre newsletter en guise de clin d’œil permettent de générer plus de trafic sur le site ? Maintenant vous avez toutes les cartes pour lui prouver le contraire… Ou pas !

Face à votre hiérarchie, votre outil de reporting est donc un excellent moyen de justifier vos actions. Véritable outil de pilotage, il vous permet également d’être force de proposition et de pouvoir argumenter sur l’orientation stratégique que vous pensez être la plus judicieuse. « Sentir les choses » ne suffit plus, il faut des preuves à l’appui !


Blog, site, emailing : le B.A.-BA de la diffusion de contenus

Blog, site web, emailing : voici les trois armes favorites de l’arsenal des content marketers. Mais fait-on toujours la différence entre ces trois supports de diffusion de contenus ? Objectifs de communication, ROI, type de contenu : YouLoveWords vous dit tout ce qu’il y a savoir pour choisir et optimiser votre stratégie Web.

 

Le site Web, le navire amiral de la diffusion de contenu

Prestigieux et accessible 24/24, le site Web est le navire-amiral de votre marque. C’est souvent le premier poste d’investissements des entreprises en matière de stratégie web. De l’arborescence à l’interface, vous lui offrez le meilleur et il vous le rend bien. Mais s’il peut prendre autant de formes qu’il existe de marques, il ne s’adapte pas à tous les contenus.

  • Avantages

Le site Internet est une vitrine dont la forme s’adapte à toutes les imaginations. Expérientiel, informationnel ou transactionnel, le contenu des sites Internet vise à diffuser l’image de marque auprès du grand public. Considéré comme l’équivalent des médias de masse, il attire un trafic non différencié en provenance des moteurs de recherche et de vos propres outils de communication.

  • Inconvénients

Le site internet est par nature intemporel. On y retrouve des contenus de référence de la marque, qu’il s’agisse du manifeste, des informations de contacts, d’un rapport annuel ou d’une FAQ. De fait, le site est donc statique. Le contenu est rarement actualisé, ce qui n’invite pas le visiteur à y revenir. Il ne permet que rarement l’interaction avec le consommateur potentiel.

 

Le blog, le rabatteur

Dernier outil à la mode, le blog est un puissant générateur de leads. D’après Kapost, les entreprises qui postent plus de 15 contenus par mois génèrent plus de 1 200 nouveaux leads par mois. Mais entre peur de la page blanche et définition de la ligne éditoriale, c’est un parcours à entreprendre avec sagesse.

- Avantages

Le blog est l’outil incontournable pour asseoir sa position de leader dans son secteur et attirer du trafic vers sa page web. Le contenu, optimisé SEO et construit autour des centres d’intérêt de votre public-cible, est flexible et interactif. Commentaires et statistiques de partage vous permettent d'en suivre la popularité. Post, vidéo, gif : tous les types de contenus sont utilisables pour informer comme pour divertir. Vous avez le choix des armes pour montrer votre expertise et votre avantage concurrentiel.

- Inconvénients

Comme la plante de la Petite Boutique des Horreurs, le blog est un média qui meurt s’il n’est pas nourri fréquemment. On estime qu’il faut produire une dizaine de nouveaux contenus mensuels pour maintenir la fréquentation. Ce rythme peut vite s’essouffler, à moins de faire appel à des agences de contenus ou de construire une stratégie solide autour d’une ligne éditoriale et d’un calendrier de contenu.

 

L'emailing, le pêcheur à la mouche

L'emailing est le roi du content marketing : avec un ROI de 3 800 % (Source : DMA), il fait pâlir les réseaux sociaux. Sa grande force réside dans le fait qu'il relève du marketing de permission. En vous fournissant son adresse e-mail, votre lead accepte de recevoir des sollicitations. Mais ce n'est pas une raison pour lui envoyer tout et n'importe quoi.

- Avantages

L'emailing est une technique de marketing direct qui vous permet de vous adresser directement à votre lead. Adapté aux lancements de produits et aux actions visant à générer du trafic vers votre site, il se prête à tous les contenus attendant une réponse de la part du lecteur. Vous pouvez suivre en temps réel l'efficacité de vos contenus. Mieux, vous pouvez suivre le comportement individuel de votre cible face à vos contenus : quel lien a-t-il cliqué, combien de fois a-t-il ouvert votre mail ou encore combien de temps a-t-il mis à se rendre sur votre site ? Vous pouvez adapter en temps réel votre contenu : un rêve devenu réalité.

- Inconvénients

L'efficacité de l'emailing se base sur la bonne volonté de vos leads à vous fournir leurs informations de contact. Cette autorisation peut être simplement levée, si votre audience constate que le contenu de vos newsletters ne lui convient plus. Votre newsletter en perdra en efficacité, puisque tout lead perdu est difficilement récupérable. Par ailleurs, le suivi de la base de données et son actualisation sont indispensables, et peuvent être gourmand en temps.

D'ailleurs, n'hésitez pas à vous inscrire à la newsletter du Content Marketing !


François Massardier, directeur de CALIF

Qui c'est LE plus fort... évidemment c'est un vert ! Le Stéphanois François Massardier, roi de la com' et du coup franc médiatique, nous livre ses quelques astuces et autres conseils pour une com d'influence, niveau Champions League. Je connais François et vous garantis qu'il est aussi droit que les poteaux en 76 étaient carrés et rond quand il s'agit de trouver le discours qui fera se lever les foules. N'hésitez pas à découvrir son interview et à faire appel à lui pour votre future épopée.

Bonjour François, peux-tu te présenter en quelques mots ?

J’ai 35 ans, je suis d’origine stéphanoise et je dirige une société de conseil en communication d’influence, CALIF, que j’ai créée en 2009 après un diplôme de Sciences Po et plusieurs années dans les affaires publiques et la communication (à Paris, à Bruxelles, en entreprise, en fédération professionnelle et en agence). Nous sommes basés à Paris et St Etienne. En parallèle, j’enseigne aussi le lobbying, les stratégies d’influence et la communication politique. Et je suis papa d’une petite fille de 4 mois.

CALIF est une agence spécialisée dans la communication d’influence. Explique-nous ton métier et en quoi ton offre est différente ?

CALIF travaille majoritairement pour des start-ups, TPE, PME, ETI, syndicats professionnels, clusters, etc. et gère leur stratégie d’influence, soit les messages à faire passer, actions à mettre en œuvre auprès des sphères politiques, économiques, médiatiques, associatives, universitaires… L’offre de CALIF se base surtout sur une parfaite connaissance des réseaux d’influence et son approche à la fois régionale, nationale et européenne. Aujourd’hui, les territoires sont une force et les entreprises le comprennent de plus en plus. Au final, on peut dire que CALIF pratique aussi les affaires publiques avec un vrai savoir-faire de communicant.

En tant que Content Strategist chez YouLoveWords, nous avons l'obsession de la mesure de nos actions, de la performance de nos contenus. Est-ce que tes clients te demandent la même chose ? Sur quels critères es-tu le plus attendu ?

Tout à fait, les clients veulent du résultat et c’est normal. Et aujourd’hui, le digital permet de le mesurer (engagement sur les réseaux sociaux, statistiques, référencement...). La maîtrise des outils digitaux permet de décupler les forces d’engagement au service d’une cause, d’une profession ou même d’une personnalité. Parmi les autres critères, on attendra surtout CALIF sur sa capacité à cibler les bons interlocuteurs, les bons relais, à délivrer les bons messages au bon moment pour constater que les problématiques des clients avancent. Quand on travaille depuis 2 ans auprès des instances européennes pour les sensibiliser à un secteur d’activité et que la Commissaire en charge de ces questions mentionne ce même secteur dans un discours, on peut alors être satisfait, tant côté client que côté agence…

J'imagine que tu produis beaucoup de contenus pour tes clients. Peux-tu nous dresser un petit panorama de ceux qui fonctionnent le mieux en com' d’influence ? Ceux que tu préfères personnellement ?

En effet, nous produisons beaucoup et des contenus très différents selon nos clients. Chacun ne fait pas passer le même message, ne s’exprime pas de la même manière, n’a pas les mêmes cibles. Nous devons donc nous adapter en permanence. Écrire à un bloggeur ou à un ministre, ce n’est pas la même chose ! Globalement, je trouve que les meilleurs contenus sont ceux qui mixent messages clés, phrases courtes et percutantes avec quelques images. Même si Twitter est un outil formidable qui pousse à synthétiser son propos, il est difficile de tout dire en 140 signes. Et d’ailleurs, il n’est pas toujours nécessaire de tout dire. C’est ce que je répète souvent à mes clients. Sur un sujet ou une problématique donnée, j’essaie toujours de produire une format d’une page (word / pdf) avec les bons arguments, les bonnes phrases clés, un bon enchaînement des idées et quelques illustrations. C’est le support de base qui permettra à tout le monde de comprendre un sujet et qui sera facilement déclinable sur d’autres supports.

Tu es co-président des Stéphanois de Paris et ambassadeur de St-Etienne Métropole (je ne peux que te féliciter ! ;-) ). Etre ambassadeur c'est prendre la parole, de façon durable, comment procèdes-tu ?

Pour ce qui est des messages relatifs à St-Etienne, les outils privilégiés sont les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, LinkedIn). Ensuite, on me sollicite souvent pour des interventions dans le cadre de travaux ou de réunions / colloques ou dans les médias. Mais ces interventions sont par définition irrégulières. D’où la prise de parole sur les réseaux sociaux qui permet davantage de régularité. Il y a aussi les réunions du Club des Stéphanois de Paris mais elles sont également organisées sans régularité très affirmée. L’important dans une prise de parole, c’est d’être crédible, d’avoir quelque chose à dire et d’être légitime pour le faire.

Le mot de la fin ? Un message à faire passer ?

Prendre conscience qu’on ne peut pas travailler correctement si on ne sait pas écrire correctement. Pour faire passer des idées et des messages, l’écrit est fondamental et on a trop tendance à l’oublier aujourd’hui, je le vérifie souvent auprès des personnes avec qui je travaille (étudiants, stagiaires, clients…). Et la bonne nouvelle, c’est que si l’on fait face à ces difficultés, il existe aujourd’hui des solutions comme Youlovewords !


5 conseils pour faire décoller votre stratégie de contenus

Vous vous êtes lancé dans l’aventure fantastique du content marketing et les résultats ne sont pas au beau fixe ? Vous hésitez encore à pousser les portes de ce monde magique dont tout le monde parle ? Nos cinq conseils pour donner des couleurs à votre stratégie de contenus.

1. Avant toute chose, établissez vos objectifs et vos KPI

Inutile de foncer tête baissée. Une bonne campagne de content marketing, ça se réfléchit, ça se mûrit, ça se planifie. Les premières questions à vous poser ne devraient donc être ni « blog ou vlog ? », encore moins « Twitter ou Facebook ? ». C’est ce qu’on appelle mettre la charrue avant les bœufs. Si vous fixez vos objectifs et vos KPIs de façon pertinente, les réponses viendront d’ailleurs toutes seules.

Commencez par établir les objectifs stratégiques globaux de votre marque. Notoriété, chiffre d’affaires, expérience client ? Les KPI, ou indicateurs-clés de performance, seront différents selon les buts poursuivis.

N’hésitez pas à définir des indicateurs plus précis que les chiffres de vente, le nombre de Likes ou de pages vues. Privilégiez les indicateurs qui suivent l’engagement : taux de conversion, taux de rebond ou temps passé sur une page sont autant de données à suivre avec attention.

« En matière de marketing de contenu, une stratégie est deux fois plus efficace si elle est dotée d’objectifs mesurables. Besoin d’aide pour définir les vôtres ? Nos Content Strategists sont de véritables pros à votre écoute. Prenez rendez-vous ! »

2. Instaurez un dialogue avec votre communauté

D’après vous, quelle est la hantise n°1 d’un content marketer ? Défendre sa stratégie devant la direction ? Négocier son budget avec le chef de projet ? Expliquer ce qu’est Snapchat à un client de plus de 40 ans ? Raté. Pour plus 50 % des marketeurs, c’est de générer du contenu qui réponde aux attentes de leur audience.

Une bonne stratégie de content marketing établit un dialogue entre la marque et ses leads, de manière à bâtir confiance et réputation. L’engagement se fonde sur un accord mutuel autour du manifesto de la marque. Cet ensemble de valeurs conçu pour enflammer les esprits et les cœurs est votre atout pour entraîner votre marché dans votre territoire de marque. La charte éditoriale, fille aînée de ce manifeste, vous permettra d’en décliner les éléments fédérateurs en règles tangibles pour la production de vos contenus.

« Peur de la page blanche ? C’est un peu normal. Mais nos Content Strategists sont là : prenez rendez-vous avec eux pour donner un boost à votre stratégie ! »

3. Variez les types de contenus

L’univers du content marketing, c’est un peu le formidable Emporium de M. Imaginarium : il existe autant de contenus que l’on peut en rêver. Et c’est tant mieux, puisqu’une bonne stratégie éditoriale mise sur la variété.

Une fois définis vos objectifs et votre charte éditoriale, vient le temps d’essayer les formats les plus pertinents et surtout les plus efficaces. Ne soyez pas surpris si votre blog ne vous attire pas autant de leads qu’espéré : la solution se trouve peut-être dans le snack-content, l’infographie, le contenu immersif, ou encore le social content.

« Avec 5 000 talents multilingues badgés et qualifiés, YouLoveWords connaît deux ou trois choses en matière de créativité et d’expertise. Du lifestyle à l’agroalimentaire, du voyage au corporate, nos auteurs sont des spécialistes. Chaque client se voit attribuer un Content Strategist et une team de talents dédiés. Alors, que votre univers de marque se décline façon Tim Burton ou plutôt Xavier Dolan, nous avons les plumes qu’il vous faut : contactez-nous pour les rencontrer. »

4. Gardez le focus sur le marketing

Produire de jolis contenus, c’est bien gentil. Mais personne ne rêve d’un destin à la Van Gogh. Le content marketing est d’abord et avant tout une stratégie de mise en marché, visant à réunir votre produit avec des clients. Il vous permettra de transformer un passant insouciant en ambassadeur de marque enthousiaste.

Son arme secrète : le call-to-action. Certains y voient un casse-tête, d’autres une véritable opportunité d’attraper des leads dont le temps d’attention vient de descendre en-dessous de celui d’un poisson rouge.

« Chez YouLoveWords, on aime bien les poissons rouges, mais on aime moins les jolis contenus qui ne se traduisent pas en ROI pertinents. Notre expérience et notre expertise vous accompagnent dans la validation de votre stratégie : contactez-nous pour en discuter. »


5. Analysez les données générées par votre contenu

Beaucoup voient dans le content marketing la revanche des créatifs, des artistes, des chouchous du prof de Lettres ou d’Arts plastiques mais c’est également le règne des nerds, des intellos, des matheux.

Parce qu’une bonne stratégie de contenu, c’est d’abord et avant tout de la data. Des KPI à la modélisation des comportements en passant par l’optimisation SEO, les données mènent la danse. Sans elles, adieu la réactivité : vous naviguez à l’aveugle. Elles seront indispensables pour valider les contenus les plus efficaces, pour abandonner les bonnes idées qui ne fonctionnent pas, pour faire évoluer votre stratégie en fonction de l’environnement.

« Les Content Strategists de YouLoveWords sont des pros des chiffres : contactez-les dès maintenant pour discuter optimisation. »


Comment définir sa stratégie de contenu ?

« Content is king! », tel est le message que répète inlassablement le crieur public digital. Non sans raison : le contenu est indéniablement l’élément indispensable pour tout site Internet, toute marque ou toute entreprise. Si le contenu ne va pas vous aider à vendre (il ne s’agit pas de publicité), il joue un rôle essentiel dans la stratégie de séduction, d’engagement de la marque. Vous devez attirer non plus des consommateurs mais des individus qui seront séduits par votre contenu et qui pourront se transformer en acheteurs. Pour y parvenir, il est donc essentiel de mettre en place une véritable stratégie de contenu.

Mais par où commencer ?

Voici 6 étapes clés qui vous permettront d’y voir plus clair.

  1. Qui suis-je ?

Une stratégie de contenu n’est pas un joli concept que l’on place autour d’une marque, d’une entreprise ou d’un produit. Cette stratégie doit clairement venir d'une réflexion interne : il faut donc savoir qui vous êtes et qui vous voulez devenir. Le contenu découle clairement de votre territoire de marque et de ce qui le compose :

Histoire, valeur, personnalité de marque, capital marque, territoire de marque, forces et faiblesses, positionnement…

Il faut partir d’une photo à l’instant T de vous-même pour débuter le zoning de votre contenu.

  1. Qui est-votre audience ?

Établir des personas semble être une action pertinente pour segmenter au mieux cette cible et lui proposer le contenu qui lui correspond. Réaliser un profil type de votre clientèle, de son comportement et de ses désirs est clairement indispensable. Il vous faut des informations sur les éléments suivants :

Comportement d’achat, style de vie, ses attentes, ses freins, ses ressources, sa connaissance de votre produit/entreprise…

C’est au travers des yeux de la cible que vous obtiendrez une nouvelle vision qui vous permettra de proposer un contenu adapté et adaptable, mais surtout un contenu unique.

  1. Quels sont vos objectifs ?

Si le content marketing est une fin en soi, il est impératif d'identifier vos objectifs, dont découle ce contenu. Développer votre notoriété ? Votre identité ? Votre positionnement ? Booster votre trafic ? Vos ventes ?

Ces objectifs vous permettront de faire ressortir le type de contenu dont vous avez besoin : ludique, informatif ou pratique.

  1. Comment construire ce contenu ?

Avant tout, vous devez définir votre ligne éditoriale : le ton, les valeurs, la personnalité, les informations… Il s'agit tout simplement de délimiter le territoire de ce contenu. Précisons que cette ligne éditoriale doit être en adéquation parfaite avec votre cible et vous-même. Si vous êtes un e-shop de vêtements féminins, développer du contenu sur la mode masculine ou le développement durable n’a aucun sens !

A partir de cette ligne éditoriale, vous serez en mesure de choisir comment va être construit votre contenu : vidéo, blog, article, interview, photo, SMO…

  1. Comment le diffuser ?

Vous avez rempli toutes les étapes précédentes, il ne vous reste plus qu’à choisir vos canaux de diffusion. En effet, vous pouvez avoir le contenu le plus pertinent du monde, s’il ne touche pas la cible, il n’a malheureusement aucun intérêt !

Plusieurs solutions s'offrent à vous pour le diffuser : votre site, emailing, communiqués de presse… Réfléchissez bien aux atouts et défauts de ces différentes solutions avant de vous lancer !

Pensez à mesurer l’efficacité de vos choix afin de proposer des ajustements de canal ou tout simplement mettre en place une diffusion payante.

  1. Comment s’organiser ?

Rien de plus simple : vous devez mettre en place une planification de votre contenu ! Développez avec votre équipe (rédacteur, journaliste, community manager…) un calendrier de contenu intégrant toutes les informations nécessaires : thématique, canal de distribution, format du contenu, date de publication…

Avec tous ces éléments, vous allez pouvoir vous lancer dans une stratégie de contenu efficace. N’oubliez pas que cette stratégie mobilise en interne et demande l’intervention de différents profils afin de créer une synergie entre votre marque et votre audience. Et si vous manquez de ressources en interne, n'hésitez pas à vous appuyer sur le soutien des experts en contenu de YouLoveWords !

À votre tour de crier « Content is King ! ».


LinkedIn Pulse : l’arme secrète des top-communicants

Vous pensez encore que LinkedIn n’est qu’un moyen comme un autre d’afficher son C.V. sur Internet ? Détrompez-vous. Networking et partage d’expertise sont au cœur de la stratégie de ce réseau dédié au B2B et au B2C. La mise à disposition de LinkedIn Pulse en janvier 2016 en fait désormais l'allié de toute bonne stratégie de content marketing. Décryptage et conseils.

 

LinkedIn : plus que jamais le réseau des pros

Créé en mai 2003, LinkedIn compte aujourd’hui 396 millions de membres, dont 10 millions en France. Considéré comme le réseau social professionnel par excellence, on y retrouve parmi ses utilisateurs des entreprises (dont YouLoveWords) comme des particuliers, notamment des CSP+.

LinkedIn assoit son développement sur trois axes majeurs. Tout d’abord, les Talent Solutions offrent aux entreprises des outils innovants pour dénicher et recruter les meilleurs candidats. Les Marketing Solutions offrent quant à elles des produits qui vont de l’email-marketing, via les Sponsored InMails, à la publicité, via les Display Ads, en passant par la génération de leads qualifiés grâce à Lead Accelerator. Enfin, les abonnements LinkedIn Premium s’adressent directement aux membres du réseau en leur permettant d’accéder à des fonctionnalités et à des statistiques inaccessibles aux comptes gratuits.

Alors qu’il présente des fonctionnalités rêvées pour développer ses activités B2B et B2C, LinkedIn est souvent boudé au bénéfice d’autres réseaux plus glamours comme Facebook ou Instagram. Il est vrai que la production de contenu qualifié sur le réseau a longtemps été impossible. Pour preuve : près de 80% des membres seraient passifs. Mais les choses sont appelées à changer grâce à Pulse.

 

LinkedIn Pulse : innovation et content marketing

Depuis janvier 2016, LinkedIn met à la disposition des dix millions de membres francophones un poids lourd du partage d’expertise et de compétences : Pulse. Si hier, il fallait s’appeler Barack Obama, Bill Gates ou Hillary Clinton pour en profiter, Pulse est aujourd’hui accessible à tous.

Alors, qu’est-ce qui se cache derrière cette petite révolution ? LinkedIn Pulse permet à chacun de publier du contenu directement sur le réseau. Imaginez ne plus avoir à publier des liens vers votre site web personnel. L’intégration de contenu se fait directement en lien avec votre profil. Il devient accessible immédiatement à votre réseau, via leur fil d’actualité, mais également à quiconque s’intéressant au secteur dans lequel vous évoluez.

Les contenus viraux plébiscités par les utilisateurs sont en effet mis en avant par l’équipe éditoriale de Pulse qui sélectionne chaque jour les articles les plus pertinents. Voir ses analyses figurer au côté de celles de Richard Branson est une forme d’aboutissement en soi. ;-)

Cette innovation inaugure un tournant pour le réseau social qui s’affirme ainsi comme une véritable plateforme de content marketing. Comme Isabelle Roughol, rédactrice en chef international à LinkedIn, le déclarait à Challenges en février 2016 : « Les gens recherchent de l’authenticité. Ils veulent connaître les idées qui viennent des auteurs eux-mêmes, et pas des communiqués d’une société ou du courant qu’ils représentent. »

 

Maîtriser LinkedIn : trois astuces made in YouLoveWords

1. Intégrez-vous

LinkedIn, c’est un peu comme un cocktail de networking en version digitale. On peut rester spectateur, mais les opportunités ne surgiront que si vous vous jetez dans le bain. En guise de small-talk, n’hésitez pas à simplement liker des publications entrant dans votre champ d’intérêt.

2. Publiez

Grâce à LinkedIn Pulse, vous pouvez désormais publier du contenu original en le rendant accessible aux membres de votre secteur. Publiez des articles de qualité de façon régulière pour asseoir votre expertise unique et mettre en valeur votre compréhension des enjeux.

3. Diffusez

LinkedIn compte plus de 1,5 millions de groupes. Ces groupes sont autant de tables virtuelles où s’expriment des communautés d’intérêt. Inscrivez-vous et partagez-y des liens pertinents pour faire reconnaître naturellement votre connaissance du secteur.

LinkedIn est un réseau professionnel qui peut être impressionnant. À la manière d’un mentor qui vous introduira aux pratiques du networking, l’équipe de YouLoveWords pourra vous conseiller dans la production et la diffusion de vos contenus. Nos Content Strategist y publient d'ailleurs régulièrement leurs articles.


Les clés pour un article optimisé SEO

Le contenu est ROI au royaume du SEO et Google nous le prouve plus que jamais avec la mise à jour de son algorithme Panda. Il est donc devenu essentiel d’adopter une rédaction web, optimisée pour le référencement naturel. Mais attention à ne pas tomber dans l’excès, n'oubliez pas de rester user friendly ! YouLoveWords vulgarise pour vous les bases d'un article optimisé SEO.

 

Pourquoi rédiger un article optimisé SEO ?

J'entends déjà ceux qui ne pensent qu'au nombre de visiteurs... Erreur ! Il ne faut pas penser à si court terme. Le but d'un site est certes d'avoir de la visibilité (75 % des internautes ne dépassent pas la première page de Google), mais il ne faut pas oublier son véritable objectif : transformer le visiteur en futur acheteur ou ambassadeur de la marque !

Rédiger un article optimisé SEO, c'est donc penser à terme à obtenir un trafic qualifié plutôt qu'un trafic quantitatif. Cela passe par le choix de votre thématique, la mise en forme de votre article, l'optimisation SEO on et off-page. Suivez le guide !

 

La méthode pour trouver ses mots-clés

Impossible de parler d’optimisation d’articles pour le référencement naturel sans parler de mots-clés. Cependant, n'oubliez pas qu'améliorer vos articles est insuffisant pour faire remonter votre site en première place sur Google. En effet, si vous vous reportez à notre article sur les Tendances SEO 2016, c’est un élément majeur lors de la rédaction de contenu, mais cela ne fait pas tout. La rédaction d'articles optimisés SEO doit s'inscrire dans une stratégie globale de référencement de votre site, et pas seulement de son contenu. Ce rappel fait, passons à la pratique :

Étape 1 : Noter les expressions qui vous paraissent décrire au mieux votre article. Il est important de garder un esprit ouvert et de penser à ce que votre cible est amenée à rechercher.

Étape 2 : Utiliser le générateur de mots-clés de Google pour récupérer une liste d'idées.

Étape 3 : Comparer les résultats avec ses concurrents (bien référencés) et faire un tri pour garder les résultats qui vous paraissent les plus cohérents avec votre sujet et votre activité.

Étape 4 : Obtenir les tendances de recherche des mots-clés avec Adwords.

Étape 5 : Choisir l'expression ou le mot-clé le plus pertinent en fonction de la concurrence et du nombre de visites. Un juste milieu entre la quantité de visiteurs et de concurrents permet de se référencer sur des mots-clés, et d'atteindre une cible très qualifiée.

 

La densité et le choix de mots-clés

Il ne faut pas excéder 4 répétitions de mots-clés par 200 mots. Comme son nom l'indique, le référencement doit rester naturel.

Pour choisir ses mots-clés, il ne faut pas se borner à un mot. On appelle cela « jouer sur la longue traîne ».

La courte traîne correspond à un mot-clé. Plus recherché sur les moteurs de recherche, il est aussi très concurrentiel. Il est donc très difficile d'être référencé en travaillant la courte traîne. Par exemple, dans le domaine de l'habillement, le mot « jean » totalise 27 000 recherches par mois.

La longue traîne est la déclinaison de notre mot-clé en une expression plus complète. Plus précise, elle est donc moins recherchée et moins concurrentielle. Par exemple « jean slim noir et blanc » avec 20 recherches par mois. En règle générale, plus on s'enfonce dans l'arborescence d'un site, plus on joue sur la longue traîne.

 

La structure d'un article optimisé SEO

La structure d'un contenu sur un site est différente du print. La règle d'or consiste à rédiger son contenu en pyramide, les informations les plus générales au début et le développement des informations dans le corps de l'article.

Un article doit comprendre un titre accrocheur composé de 4 à 10 mots et un chapô qui ne doit pas dépasser les 50 mots. Concernant le corps du texte, le minimum requis est de 300 mots. La fourchette idéale étant de 600 à 1 000 mots.

Où placer ses mots-clés ?

L'emplacement de vos mots-clés est crucial pour être détecté par les moteurs de recherche. Voici une check-list pour ne rien oublier :

  • Dans son titre
  • Dans le nom des fichiers images
  • Dans sa balise méta description
  • Dans son chapô
  • Dans au moins un sous-titre
  • Dans les ancres et les liens internes

Dernier conseil, essayez de limiter à 10 occurrences la répétition du mot-clé. Mais n'hésitez pas à le décliner, en l'utilisant par exemple au pluriel.


Snapchat, le prochain atout de votre marque

22 ans après la sortie du premier opus de Ghostbuster, un nouveau fantôme fait son entrée remarquée dans la médiasphère, loin cette fois des salles obscures. Sous la forme d’une application de partage de photos et de vidéos, Snapchat est devenu omniprésent dans les usages de communication de la nouvelle génération et nous vous expliquons pourquoi il doit devenir votre nouvel atout dans votre stratégie de content marketing !

 

Snapchat, le fantôme le plus sympa après Casper

Snapchat est le mot que tous les marketeurs ont à la bouche en 2016. Et devinez quoi ? Ils ont raison cette fois !
Si vous n’avez pas encore entendu parler de LA nouvelle plateforme sociale, soit vous vivez dans une grotte, soit vous n’avez pas ouvert votre navigateur web depuis deux ans. Dans tous les cas, c’est le moment de vous rattraper. Explications :
Snapchat est une application mobile de partage de contenus courts (photos et vidéos), en direct, dont la particularité est leur caractère éphémère. En effet, tout ce qui est partagé sur Snapchat disparaît automatiquement après quelques secondes.
En 2013, Mark Zuckerberg himself a décelé tout le potentiel de l’application et a tenté de la racheter pour la modique somme de 3 milliards de dollars. Un refus catégorique en guise de réponse et la hype Snapchat était lancée.

 

Snapchat, un phénomène de société

Au delà de ce chiffre qui donne le tournis, certains signes ne trompent pas : il suffit d’observer un ado pour constater que les façons de communiquer ont changé. Les selfies et les emojis sont le nouveau langage de la génération Z. Tout est fondé sur l’image et l’instantanéité. C’est en s’appropriant et en réinventant ce phénomène de société que Snapchat est devenu la plateforme du moment.

https://www.youtube.com/watch?v=rQawpUVxOy8

Si vous n’êtes toujours pas convaincu, on vous invite à découvrir l’expérience singulière (pour ne pas dire effrayante) de Ben Rosen, qui a demandé à sa petite sœur de treize ans de lui apprendre à « utiliser Snapchat comme un ado ». Coup de vieux garanti, même pour les experts Social Media les plus pointus. Ça pique !

 

Snapchat, les marques… et la vôtre

Le décor est planté et le constat s’impose à tous : Snapchat a un formidable potentiel pour toucher une audience jeune. Pourtant, peu de marques ont osé s’attaquer au phénomène. Avec plus de 8 milliards de vidéos vues par jour, 9 000 snaps envoyés par seconde, une croissance de 57 % en 2014, ainsi que des perspectives prometteuses à court terme, la frilosité des annonceurs ne devrait pas durer !

Si vous ne vous êtes pas encore penché sur la question et si vous ne souhaitez pas être un has been du social media marketing, c’est le moment ou jamais. Voici cinq bonnes raisons de vous y mettre sans plus tarder :

  1. Pour toucher vos consommateurs de demain

Les derniers chiffres sont éloquents : Snapchat compte d’ores et déjà plus de 100 millions d’utilisateurs actifs chaque jour, dont 70% ont entre 13 et 25 ans.
Autrement dit, c’est ici que se trouvent les prescripteurs d’aujourd’hui et les acheteurs de demain !

  1. Pour vous démarquer de vos concurrents

Le Snapchat Marketing en est encore à ses balbutiements et le terrain est pour le moment uniquement occupé par les marques les plus puissantes à l’échelle internationale (à l’image de Coca-Cola, Nike ou Adidas). Si la plateforme est en adéquation avec vos objectifs, c’est le moment de s’y faire une place en tant que précurseur sur le marché et d’avoir un coup d’avance sur vos concurrents.
Imaginez être abonné au compte Snapchat d'iStock, professionnels de l'image. Des dizaines de photographies plus spectaculaires les unes que les autres, diffusées chaque jour en direct sur votre mobile, et une forte mémorisation de la marque.

  1. Pour enrichir votre stratégie de contenu

Sur Snapchat, le véritable challenge consiste à définir une approche nouvelle de sa stratégie de contenus et des moyens à mettre en place pour animer son réseau. En plus d’être éphémère, le contenu doit être réalisé en direct et répondre aux attentes de la génération Z. Cela bouscule les codes du content marketing classique où tout est planifié, scénarisé, retouché et sublimé.
C’est certainement ce qui explique aujourd’hui la frilosité de nombreux annonceurs à se lancer sur Snapchat. Mais dans l’ère du digital, ce sont souvent les audacieux qui sortent leur épingle du jeu ! L’opportunité que représente cette forme de contenu ouvre un champ des possibles formidable. Et si vous hésitez encore à vous lancer et que vous avez besoin d'aide, bonne nouvelle : le content marketing est justement notre cœur de métier chez YouLoveWords !

  1. Pour humaniser votre marque

Sur Snapchat, tout est live, capturé sur le vif et donc à l’opposé de la publicité classique. Se lancer sur cette plateforme crée un lien beaucoup plus direct entre votre marque et vos consommateurs. Un contenu plus authentique et plus spontané donc, permettant de renouer une relation de proximité forte avec vos communautés.
Chacun se souvient des récentes publicités en quasi-direct de la SNCF, filmées le jour-même à l'aube et diffusées sur votre poste vers 20h. Avec Snapchat, oubliez le "quasi" ! Quitte à ce que le trafic soit perturbé sur votre ligne, qui ne préfèrerait pas l'apprendre de votre conducteur de train, selfie-dans-son-cockpit à l'instant T, une moue désolée au visage ☹️, que sur un écran pixélisé en gare en fin de journée ?

  1. Pour travailler l’influence de votre marque

Créer du contenu Snapchat n’est pas chose aisée de prime abord et nécessite un véritable travail de fond. Mais il existe une solution déjà exploitée par de nombreuses marques tels que Coca-Cola ou Canon : utiliser Snapchat comme un hub d’influence. Donner les clés de votre compte à des influenceurs a le double avantage de pouvoir capitaliser sur l’audience captive de ces derniers et de permettre à votre marque de ne pas avoir besoin de moyens lourds afin de créer du contenu spécifique.

Vous êtes TUI et proposez des destinations de voyage partout dans le monde ? Pourquoi ne pas donner les accès de votre compte à quelques-uns de vos meilleurs clients, qui l'alimenteront en direct de paysages magnifiques, filmés instantanément directement depuis les pays où ils se trouvent ? Aussi, après une rude journée pluvieuse, lorsque vos followers parisiens verront votre Snap publié à 20h, ils sauront qu'au même moment il est 13h à Cancún, avec une température extérieure de 30°c. Tour du monde garanti (et envies de voyage aussi) !

Nous venons de voir cinq bonnes raisons de se lancer sur Snapchat, mais comme toujours dans la sphère du content marketing, la seule limite réside dans la capacité d’une marque à être créative et à s’approprier les canaux d’audience pour émerger. Franchirez-vous le pas ? Snapchat fait tout pour s’adapter à votre demande… et nous aussi !

À vous de jouer !


Quand le native advertising renouvelle la publicité en ligne

Le native advertising est à la publicité en ligne traditionnelle ce que Facebook est à Myspace, Internet au Minitel, la dernière coupe de cheveux de Justin Bieber à celle de ses débuts. Elle la ringardise. Oui, on peut le dire, le native advertising est LA nouvelle manière de promouvoir du contenu publicisé sur Internet. Mais de quoi s’agit-il exactement ? Quels sont ses avantages ? Ses acteurs ?

 

Le native advertising, qu'est ce que c'est ?

Vous connaissiez le publi-rédactionnel, passez au native advertising (également appelé native ad). Le native advertising est un format publicitaire éditorialisé, parfaitement intégré à la plateforme où il est diffusé, plus qualitatif et transparent que la publicité traditionnelle.

1) Mieux intégré

Les internautes fuient les bannières comme la peste. Il est donc essentiel de trouver des moyens plus subtils et pertinents pour générer de l’engagement. La force du native advertising est de s’insérer naturellement dans les plateformes qui l’hébergent. Dans le graphisme, les sujets ou le ton, tout est fait pour éviter l’effet In your face de la publicité traditionnelle, du type bannières ou pop-up.

2) Plus qualitatif

Le contenu est qualitatif et adapté au public cible du site. Si vous lisez un article du Monde, les liens sponsorisés seront adaptés à vos intérêts potentiels. Dans tous les cas, l’information sera divertissante, utile et racontera une histoire. Dans certains cas, elle pourra même être encore plus utile que le contenu propre à la plateforme sur laquelle elle est hébergée.

3) Plus transparent

Vous avez sûrement déjà remarqué les mentions « Lien sponsorisé » ou « Contenu recommandé » sur les différents sites media que vous consultez. Trendy ou pas, le native advertising demeure de la publicité. Dans un souci de transparence vis-à-vis des internautes, les liens promus doivent donc clairement être indiqués comme tels.

 

Native advertising VS content marketing ?

À vrai dire, les deux sont complémentaires. Comme l'explique Maxime Menvielle, Senior Account Manager chez Outbrain : « le native ad permet de donner de la visibilité au contenu. » Le schéma est donc le suivant :
- Content marketing : les marques développent et optimisent leurs contenus (articles, billets de blogs, infographies), en s'appuyant sur des rédacteurs experts.
- Native advertising : les régies spécialisées comme Outbrain, Adyoulike ou Ligatus font en sorte que ce contenu soit vu.

 

Les avantages du native advertising

1) Visibilité
Comme l’explique Charles Deffontaine, Managing Director chez Adyoulike, « Le native advertising offre une très bonne réponse face aux bloqueurs de pubs comme Adblocks. Plus de 70 % de ces bloqueurs sont utilisés parce que la publicité est interruptive. Le native ad offre une alternative avec des publicités qui s’inscrivent dans le flux et ne sont pas dérangeantes, au contraire. »

2) Engagement
Le native advertising suscite naturellement l’intérêt des internautes grâce à son placement stratégique et intégré. Il va également de pair avec une nouvelle culture dans la relation client. « Les consommateurs attendent des marques qu’elles leur donnent des conseils plutôt que de les convaincre que leur produit est meilleur que les autres. C’est une approche plus consultative », pointe Maxime Menvielle. Argument parfaitement illustré par la collaboration entre Outbrain et EDF ENR pour « Smartflower », où sur un produit très spécifique, les 50 000 clics par mois se sont accompagnés d’une baisse de 79,8 % du CPA.

3) Fiabilité

Comme l’explique Julien Mosse, Directeur Général chez Ligatus, « Il est évident que la promesse du message publicitaire doit directement se retrouver sur la page de destination du site de l’annonceur afin d'instaurer une confiance immédiate ». Un souci de cohérence essentiel afin d’éviter que le consommateur potentiel se sente floué ou lésé, et s'assurer qu'il adhère d’autant plus aux valeurs de la marque. Résultats à l'appui : dans le cadre de son action avec le Club Med, Ligatus a ainsi augmenté les nouvelles visites sur le site de 85 % (!).

4) Qualité

En s'associant à la plateforme YouLoveWords, les acteurs majeurs du native advertising comme Outbrain, Adyoulike ou Ligatus misent de plus en plus sur des contenus de qualité. Selon Charles Deffontaine, c'est en effet une tendance forte : « je crois beaucoup à cette évolution sur les contenus - d'où le fait que l'on travaille avec YouLoveWords. Jusqu'à peu, les marques transposaient les codes de la pub traditionnelle dans le native ad. Elles réalisent de plus en plus l'importance de communiquer sur le contenu. C'est aussi l'intérêt du native advertising, le fait que les consommateurs accèdent à de l'information de qualité. » En témoigne l'augmentation du temps de lecture d'une minute supplémentaire pour chaque visiteur du site Michelin Cross Climate, grâce à des contenus riches et intéressants.

5) Compatibilité

À l'heure des tablettes et smartphones, il s'agit de s'adapter et le native ad répond parfaitement aux exigences à la fois techniques et conceptuelles de ces supports. Pour Charles Deffontaine, « l'audience bascule complètement sur les mobiles, et le native ad, dans sa conception, s'adapte particulièrement bien à ces nouveaux supports ».

Le native advertising s'est donc naturellement imposé comme l'un des piliers de toute stratégie d'online marketing et représente une réelle alternative aux investissements publicitaires traditionnels.


Récit immersif : et si vous faisiez rêver vos lecteurs ?

3 000 signes, comme d’habitude ?

Pourquoi changer une équipe qui gagne ?

Sur le web, l’article de deux feuillets a fait ses preuves. Ni trop long, ni trop court, c’est le format parfait pour vos lecteurs. Et pourtant… depuis quelques mois, ce modèle est bousculé par de nouveaux formats de contenus, plus adaptés au web. D’un côté le snack content, des formats très courts – voire même de simples GIFs – particulièrement efficace sur les réseaux sociaux. De l’autre, des textes plus longs et soignés, faisant appel à une iconographie précise, mais aussi à la vidéo et à l’audio. Appelée récit immersif, cette nouvelle forme d’écriture sur le web est récente : le premier long form est publié en 2012 par le New York Times.

Récompensé par un prix Pulizter, Snow Fall devient rapidement une référence qui va inspirer de nombreux médias, notamment en France, avec Le Monde et l’Equipe.

Osez le storytelling

En dépit de sa longueur, le récit immersif, quand il est bien fait, va captiver le lecteur qui ne pourra pas décrocher avant d’avoir scrollé jusqu’au point final. Avouez que c'est plutôt rare quand on sait que sur Internet, le temps de lecture d'un article dépasse rarement plus de quelques minutes.

En effet, les textes courts, souvent pauvres en informations, sont parcourus en diagonale, incitant très vite le lecteur à quitter la page. Avec un texte plus riche et documenté, mis en scène élégamment, vous avez toutes les chances pour que votre lecteur reste sur votre site au lieu d'aller sur celui d'un concurrent.

L'autre intérêt du récit immersif, c'est sa capacité à raconter une histoire, à faire du storytelling. En clair, à créer du lien entre une marque et ses clients. Malgré les contraintes – plus complexe à intégrer, long à rédiger, coûteux en ressources –, ce nouveau format séduit de plus en plus les annonceurs, comme Microsoft ou encore Safran.

Une recette simple

#Incarner. Pour réussir son récit immersif, au-delà de l’histoire, il faut surtout des hommes et des femmes pour l’incarner : n'oubliez pas que vos succès sont aussi ceux de vos collaborateurs et clients !

#Animer. Diaporama, vidéo : en scrollant, le lecteur doit lui-même créer du mouvement dans le texte. Un effet « Waouh » qui incite à continuer la lecture !

#Raconter. Ne faites pas l'erreur de mettre tous les moyens dans l'animation et dans la vidéo, le texte doit être fluide et entraînant, adapté à votre histoire. Faites appel à un rédacteur rodé à ce style d'écriture !

Enfin, si vous souhaitez vous lancer dans l'écriture d'un récit immersif, sachez qu'il existe de nombreuses solutions techniques pour le mettre en scène, adaptées à votre budget et vos outils.

Encore un doute ? Regardez cette Microsoft Story et dites-nous ce que vous en pensez. Difficile de faire mieux, mais essayons ensemble !